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“Excellent”, 165 avis

Comprendre la rùgle des 4% : l’indispensable pour tout investisseur

Publié par Jonathan Dhiver le 16 sept. 2023
Mis Ă  jour le 22 oct. 2025
12 min. de lecture
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Dans l’univers de la planification financiĂšre et de la retraite, la rĂšgle des 4 % occupe une place centrale. Elle est souvent prĂ©sentĂ©e comme une boussole simple pour dĂ©cider du montant Ă  retirer d’un portefeuille chaque annĂ©e, tout en prĂ©servant les capitaux pour la durĂ©e de vie. Mais derriĂšre cette idĂ©e sĂ©duisante se cachent des hypothĂšses, des limites, des adaptations Ă  faire selon les marchĂ©s et le profil de risque. Cet article propose une exploration approfondie de la rĂšgle des 4 % : ses origines, son fonctionnement, ses forces et faiblesses, des variantes possibles, et des conseils pour l’utiliser de façon raisonnĂ©e.

Origines et fondements de la rĂšgle des 4 %

GenÚse et étude Trinity

La rĂšgle des 4 % est souvent associĂ©e à William Bengen, qui, dans les annĂ©es 1990, publia une analyse fondĂ©e sur les rendements historiques des marchĂ©s amĂ©ricains et conclut qu’un retrait initial de 4 % de la valeur d’un portefeuille (actions + obligations), ajustĂ© ensuite selon l’inflation, avait de trĂšs bonnes chances de permettre au portefeuille de durer 30 ans. Par la suite, l’étude Trinity (1998) — menĂ©e par trois professeurs de finance de l’UniversitĂ© de Trinity — est venue renforcer cette approche en testant diffĂ©rents scĂ©narios historiques sur des portefeuilles actions-obligations et divers horizons. Elle montra que des taux de retrait de 3 % Ă  4 % avaient un taux de rĂ©ussite Ă©levĂ© pour des portefeuilles dominĂ©s par les actions. L’étude Trinity retient qu’au premier retrait, on prĂ©lĂšve 4 % de la valeur du portefeuille, puis on ajuste chaque annĂ©e ce montant en fonction de l’inflation (indice des prix Ă  la consommation). Si le portefeuille ne s’épuise pas avant l’horizon (souvent 30 ans), c’est un succĂšs pour la stratĂ©gie.

HypothĂšses sous-jacentes

La rĂšgle repose sur plusieurs hypothĂšses implicites, dont :

  • un portefeuille diversifiĂ© entre actions et obligations ;
  • une pĂ©riode de dĂ©caissement prĂ©dĂ©finie (souvent 30 ans) ;
  • des marchĂ©s dont les rendements suivent les patterns historiques ;
  • un ajustement annuel du retrait selon l’inflation pour prĂ©server le pouvoir d’achat ;
  • une discipline de retrait constante, sans tentation de piocher davantage lors de bonnes annĂ©es, ni rĂ©duire drastiquement en mauvaise annĂ©e.

Ces hypothÚses font que la rÚgle des 4 % est un bon point de départ, mais nécessite des ajustements dans la pratique.

Fonctionnement concret et mathématiques simplifiées

Mécanisme de retrait

Voici le mécanisme de base :

  1. À l’annĂ©e 1, retirer 4 % de la valeur du portefeuille (par exemple, si le portefeuille vaut 500 000 €, retirer 20 000 €).
  2. Les annĂ©es suivantes, augmenter ce montant selon le taux d’inflation (par exemple +2 % si l’inflation est de 2 %).
  3. Si la valeur du portefeuille baisse, le retrait reste le mĂȘme (ajustĂ© pour l’inflation) — ce qui peut accĂ©lĂ©rer l’érosion du capital si les marchĂ©s subissent de fortes baisses prolongĂ©es.
  4. Si la valeur remonte, le retrait suit mĂ©caniquement l’inflation mais ne « monte » pas davantage (sauf adaptation volontaire).

Cette mĂ©thode vise Ă  maintenir le pouvoir d’achat au fil du temps, tout en cherchant Ă  ce que le capital dure – idĂ©alement pendant toute la durĂ©e de la retraite.

Limite du capital et « échec »

Si un retrait ajustĂ© dĂ©passe la capacitĂ© du portefeuille Ă  se redresser (aprĂšs rendements nĂ©gatifs prolongĂ©s), on peut arriver Ă  un épuisement du capital avant la durĂ©e souhaitĂ©e. Dans l’étude Trinity, on considĂšre que la stratĂ©gie « Ă©choue » si, Ă  un moment, la valeur tombe Ă  zĂ©ro avant la fin de la pĂ©riode prĂ©vue. Les critiques soulignent aussi que la rĂšgle ne garantit pas de prĂ©server le capital — elle permet de consommer une part sans le ruiner prĂ©maturĂ©ment, selon les conditions de marchĂ©.

Forces, limites et critiques

Pourquoi la rĂšgle des 4 % est utile

  • SimplicitĂ© : c’est un repĂšre facile Ă  expliquer et Ă  retenir.
  • Historique favorable : sur de nombreuses simulations basĂ©es sur les marchĂ©s amĂ©ricains, ce taux a tenu la plupart du temps.
  • Discipline : elle impose une approche prudente, Ă©vitant les retraits excessifs impulsifs.
  • Point de dĂ©part pour adaptation : elle peut servir comme base avant d’ajuster selon le contexte (Ăąge, horizon, marchĂ©, tolĂ©rance au risque).

Critiques et défis

  1. Contexte de taux faibles / rendements futurs incertains:  Dans les dĂ©cennies rĂ©centes, les taux d’intĂ©rĂȘt bas ou les perspectives de rendement plus modestes rendent la rĂšgle moins robuste qu’auparavant.
  2. Durées plus longues pour une retraite anticipée :  Si la période de retrait doit durer 40 ans ou plus (retraite précoce), 4 % peut apparaßtre comme trop élevé.
  3. HypothĂšse d’inflation stable :  Lorsque l’inflation est volatile ou Ă©levĂ©e, ajuster les retraits peut poser des dilemmes : retirer trop en mauvaises annĂ©es, ou trop peu et perdre du pouvoir d’achat.
  4. VolatilitĂ© et sĂ©quence des retraits :  Si les premiĂšres annĂ©es de la retraite rencontrent des rendements nĂ©gatifs, le capital peut ĂȘtre fortement entamĂ©, rendant la stratĂ©gie fragile (effet « sĂ©quence des rendements nĂ©gatifs »).
  5. AsymĂ©trie des marchĂ©s gĂ©ographiques / frais / fiscalitĂ© :  Les Ă©tudes d’origine correspondent aux marchĂ©s amĂ©ricains, avec certaines hypothĂšses fiscales et de frais. Dans d’autres pays (Europe, France, etc.), ces paramĂštres peuvent altĂ©rer la faisabilitĂ©.
  6. Absence d’ajustement dynamique :  La rĂšgle est rigide — elle ne tient pas compte des circonstances changeantes (besoins urgents, dĂ©penses exceptionnelles, variation de rendement).

Des travaux rĂ©cents proposent des modĂšles plus sophistiquĂ©s. Par exemple, une Ă©tude de 2025 propose de dĂ©river un taux de retrait optimal Ă  partir de distributions stochastiques de rendement plutĂŽt que de s’en tenir Ă  un taux fixe (≈ 4 %).

De plus, certains auteurs cĂ©lĂšbrent l’idĂ©e d’un retrait « adaptatif » : diminuer les retraits en pĂ©riode de marchĂ©s dĂ©favorables, et les relĂącher lorsque la valeur du portefeuille monte (mais sans excĂšs).

Variantes et ajustements possibles

Taux moins agressifs : 3 % ou 3,5 %

Pour plus de sĂ©curitĂ©, certains prĂ©conisent d’adopter 3 Ă  3,5 % comme taux initial, notamment dans les environnements de taux bas ou si la retraite sera longue. Cela rĂ©duit le risque d’épuisement prĂ©coce du capital.

Stratégie « seuil / plancher »

PlutÎt que de suivre strictement un retrait ajusté mécaniquement, on peut définir :

  • un plancher minimal en cas de mauvaise conjoncture (rĂ©duire lĂ©gĂšrement les retraits) ;
  • un seuil maximal en cas de bonne performance (capper les retraits).

On peut ainsi limiter les excÚs dans les cycles de marché.

Retraits dynamiques (par formule)

Certaines approches utilisent des formules plus complexes qui adaptent le retrait selon la valeur du portefeuille, la volatilitĂ© ou le ratio de couverture. L’idĂ©e est de prĂ©voir un retrait « optimal » qui Ă©volue, plutĂŽt qu’un simple ajustement Ă  l’inflation.

Retraits en pourcentage fixe

Une méthode plus conservatrice consiste à retirer chaque année un pourcentage fixe de la valeur du portefeuille (par exemple 3 ou 4 %) sans ajustement inflation, ce qui réduit les risques en cas de baisse sévÚre.

Ajustements liĂ©s Ă  l’ñge ou au portefeuille restant

Un retrait progressif : diminuer le pourcentage de retrait aprĂšs certains Ăąges (ex. 75 ans) ou si le portefeuille est fortement rĂ©duit. Cela permet d’adapter la consommation Ă  la rĂ©alitĂ© du capital subsistant.

Application pratique dans un contexte français / européen

Particularités du contexte européen

  • Les rendements historiques amĂ©ricains ne se traduisent pas directement en Europe ou en France en raison d’un contexte de taux d’intĂ©rĂȘt diffĂ©rent, de fiscalitĂ©, de frais de gestion.
  • Les contraintes fiscales, les prĂ©lĂšvements sociaux, les rĂšgles d’imposition europĂ©enne doivent ĂȘtre intĂ©grĂ©s.
  • L’environnement Ă©conomique (croissance, inflation, rendement obligations) est plus faible qu’hier dans de nombreuses zones.

Adaptations recommandées

  1. Baisser le taux initial (3 Ă  3,5 %) si l’horizon de retraite est trĂšs long ou si la tolĂ©rance au risque est faible.
  2. Utiliser un portefeuille diversifié (ex : actions européennes/monde, obligations, actifs divers) pour réduire la dépendance à un seul marché.
  3. Revoir les retraits pĂ©riodiquement (tous les 2–3 ans) selon performance et situation.
  4. Envisager un mĂ©canisme de retrait minimum / retrait maximum modĂ©rĂ© pour modĂ©rer l’impact des extrĂȘmes du marchĂ©.
  5. ConsidĂ©rer l’impact des frais, impĂŽts et contraintes de change si des actifs internationaux sont prĂ©sents.

Quand et comment utiliser la rĂšgle des 4 %

Scénarios favorables

  • Retraite classique avec horizon de 25 Ă  35 ans.
  • Portefeuille diversifiĂ© avec historique de performance raisonnable.
  • VolontĂ© d’un repĂšre simple pour calibrer un plan de dĂ©caissement.

Scénarios à éviter

  • Retraite anticipĂ©e avec horizon de 40 Ă  50 ans.
  • Portefeuille trĂšs concentrĂ© ou trĂšs faible rendement anticipĂ©.
  • Conditions de marchĂ© trĂšs dĂ©favorables ou inflation forte prolongĂ©e.

Bonnes pratiques

  • Revoir annuellement ou tous les quelques annĂ©es le retrait Ă  la lumiĂšre de la performance rĂ©elle.
  • Être prĂȘt Ă  ajuster le taux de retrait si le portefeuille subit des pertes importantes.
  • PrĂ©voir une marge de sĂ©curitĂ© (ex : commencer avec 3,5 % au lieu de 4 %).
  • Diversifier les sources de revenu (immobilier, revenus rĂ©guliers, rente retardĂ©e) pour limiter la pression sur le portefeuille.
  • Faire des simulations de “stress test” pour vĂ©rifier le comportement du portefeuille dans des scĂ©narios extrĂȘmes (crises, inflation, faible rendement).

Tableau récapitulatif : Comparaison de stratégies

Stratégie / Variante

Taux initial (approx.)

Ajustement inflation

Robustesse en marché faible

Flexibilité

Type d’horizon recommandĂ©

RĂšgle des 4 % classique

4 %

Oui

Moyenne Ă  bonne

Faible

≈ 30 ans

Taux plus prudent (3–3,5 %)

3,0–3,5 %

Oui

Plus élevée

Faible

Longue (35–40 ans)

Pourcentage fixe (sans ajustement)

3–4 %

Non

TrĂšs robuste si faible

Moyenne

Moyenne Ă  longue

Stratégie dynamique / adaptative

Variable

Oui

Haute

Haute

Tous horizons

Retrait plancher / plafond modulé

3,5 % → plafond max

Oui

Moyenne

Modérée

Toute retraite

Recommandations finales pour un investisseur éclairé

  • La rĂšgle des 4 % doit ĂȘtre considĂ©rĂ©e comme un outil de planification, et non comme une loi absolue.
  • Il est prudent de partir sur une base plus modĂ©rĂ©e (3 Ă  3,5 %) dans un contexte de rendements faibles.
  • PrĂ©voir la flexibilitĂ© : ĂȘtre capable de rĂ©duire les retraits en pĂ©riode difficile ou de les ajuster selon la valeur du portefeuille.
  • Effectuer des simulations (« back-testing ») pour vĂ©rifier la rĂ©sistance du plan face Ă  des crises historiques ou scĂ©narios extrĂȘmes.
  • Ne pas compter uniquement sur le portefeuille : diversifier les revenus (immobilier, rente, actifs liquides) pour limiter la pression sur les retraits.
  • Mettre Ă  jour rĂ©guliĂšrement le plan, comme on rĂ©ajuste une stratĂ©gie d’investissement selon l’évolution des marchĂ©s, de l’ñge, des besoins et des conditions Ă©conomiques.

La rÚgle des 4 % face aux autres stratégies financiÚres

La rĂšgle des 4 % s’inscrit dans un ensemble plus large de stratĂ©gies de gestion et d’indĂ©pendance financiĂšre. Elle est notamment au cƓur du mouvement FIRE (Financial Independence, Retire Early), un courant venu des États-Unis qui prĂŽne une Ă©pargne trĂšs Ă©levĂ©e — parfois jusqu’à 50 % des revenus — pour accumuler rapidement un capital permettant de vivre uniquement de ses retraits. Dans ce modĂšle, la rĂšgle des 4 % sert de repĂšre pour estimer le capital nĂ©cessaire : par exemple, disposer de 25 fois ses dĂ©penses annuelles (car 1 Ă· 0,04 = 25) permettrait thĂ©oriquement de subvenir Ă  ses besoins sans revenu d’activitĂ©.

À cĂŽtĂ© de cette approche centrĂ©e sur le patrimoine, d’autres mĂ©thodes visent à structurer la gestion quotidienne des revenus. La rĂšgle des 50/30/20, popularisĂ©e par l’économiste amĂ©ricaine Elizabeth Warren, recommande d’allouer : 50 % des revenus aux besoins essentiels (logement, alimentation), 30 % aux envies personnelles, et 20 % Ă  l’épargne ou au dĂ©sendettement. Elle sert souvent de cadre d’équilibre budgĂ©taire avant mĂȘme d’aborder les placements.

Enfin, le frugalisme, philosophie proche du FIRE mais plus ancrée dans la simplicité volontaire, consiste à réduire durablement les dépenses pour gagner en liberté financiÚre. Cette approche repose moins sur la performance des investissements que sur la maßtrise des besoins et des habitudes de consommation.

En somme, la rĂšgle des 4 % est complĂ©mentaire de ces autres stratĂ©gies : elle offre une mĂ©thode de dĂ©caissement raisonnĂ© pour ceux qui ont dĂ©jĂ  constituĂ© leur capital, tandis que le FIRE, la rĂšgle des 50/30/20 ou le frugalisme s’intĂ©ressent davantage Ă  la constitution et Ă  la gestion de ce capital en amont.

Conclusion

La rĂšgle des 4 % reste une rĂ©fĂ©rence majeure dans le monde de la retraite individualisĂ©e. Elle offre un repĂšre simple pour calibrer les retraits d’un portefeuille tout en visant la pĂ©rennitĂ© du capital. Toutefois, elle n’est pas une panacĂ©e : ses hypothĂšses sont fortes, son efficacitĂ© dĂ©pend fortement du contexte de marchĂ©, et elle demande des ajustements prudents. Pour tout investisseur sĂ©rieux, l’enjeu consiste Ă  adapter la rĂšgle aux contraintes locales (rendement escomptĂ©, fiscalitĂ©, horizon, volatilitĂ©) plutĂŽt que de la suivre aveuglĂ©ment. En combinant rigueur, simulations et flexibilitĂ©, il devient possible d’utiliser la rĂšgle des 4 % comme une boussole utile — sans se reposer exclusivement sur elle.

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J'ai fondé MeilleureSCPI.com, Meilleur-GF.com, Meilleur-GFV.com, et Epargne-Mensuelle.com. J'adore tout ce qui touche à l'épargne, l'éducation financiÚre, et la fixation d'objectifs. Je pense qu'une des clés est de mettre de l'argent de cÎté dÚs le début du mois. Si vous avez des questions, n'hésitez pas à me contacter (via le formulaire de contact) !

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